Coordination : Sabrina Melenotte et Nicolas Puig
Ce groupe de recherches s’inscrit dans la continuité du groupe « anthropologie de la disparition » qui avait pour objectif de poursuivra les interrogations sur les effets du gommage du lieu anthropologique et le « hors-lieu » de l’exil extrême (la déterritorialisation) en introduisant cette fois, un degré supérieur des violences d’État et/ou miliciennes autour d’un dispositif de la terreur, celui de la disparition.
Mots clés : crises, incertitude, violence, anthropologie